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Livre Nos enfants sont des EspritsLivre : Nos enfants sont des esprits
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La plume spirite : Le Ciel et l’Enfer, 2ème partie

La plume spirite

 Le Ciel et l’Enfer

Le Ciel et l’Enfer

Bonjour et bienvenue

Comment se passe la frontière entre notre monde terrestre et le monde des Esprits ?
Si nous pouvons avoir une certitude le jour de notre naissance, c’est bien celle que nous allons mourir. Personne n’y échappe. A notre mort, nous devenons alors les émigrés de la terre qui rejoignons le continent des Esprits avec pour seul bagage nos actions bonnes ou mauvaises accumulées durant notre séjour sur la planète qui nous a accueilli.
La désincarnation ne change ni les habitudes, ni les pensées, chacun se présente tel qu’il a toujours vécu, il n’y a aucune transformation morale de l’être lors du passage dans l’autre monde. Mais voyons ce que nous dit Allan Kardec dans son livre « le ciel et l’enfer » sur cette migration de l’âme.
Si aujourd’hui, certains médecins commencent à admettre qu’il y a une conscience intuitive qui subsiste lorsque toute activité cérébrale de l’être humain a cessé, lors d’Expérience de Mort Imminente ou de coma profond, il n’en explique pas pour autant le phénomène physiologique de la séparation de l’âme et du corps.
Et pourtant, Allan Kardec a très bien expliqué ce phénomène il y a plus de 150 ans. On ne peut pas dire qu’il s’agisse d’une découverte récente. On peut supposer qu’un jour un scientifique s’attribuera cette découverte connue de tous les spirites.
Mais revenons à nos moutons.
La connaissance du lien fluidique qui unit l’âme et le corps est la clef de ce phénomène, comme de beaucoup d’autres. Ce lien, c’est le périsprit, l’enveloppe fluidique de l’âme dont il n’est séparé ni avant ni après la mort.
Tout le monde s’accorde pour dire que la matière inerte est insensible. Seule l’âme éprouve les sensations du plaisir et de la douleur. Pendant la vie toute atteinte de la matière se répercute dans l’âme qui en reçoit une impression plus ou moins douloureuse et en garde la trace ; c’est l’âme qui souffre et non le corps.
Oui mais, allez-vous me dire, si c’est l’âme qui souffre pourquoi est-ce que je ressens la douleur ?
Tout simplement parce que le fluide du périsprit qui unit l’âme au corps pénètre notre organisme dans toutes ses parties et sert de véhicule aux sensations physique de l’âme. Alors que la médecine croit que le cerveau est le siège, la source de toutes nos sensations, en fait il n’en est rien. Le cerveau n’est que le récepteur de la vie de l’âme et il retransmet au corps physique les différents états de l’âme.
Privé du fluide périsprital la matière de notre corps redevient inerte. Après la mort, le corps étant séparé de l’âme, il ne ressent plus rien. L’âme étant isolée ne reçoit plus que ses propres sensations dont la source n’est pas dans la matière tangible.
L’extinction de la vie organique amène la séparation de l’âme et du corps par la rupture du lien fluidique qui les unit. Mais cette séparation n’est jamais brusque et est fonction de la force d’adhérence qui existe entre le corps et le périsprit.
L’état moral de l’âme est la cause principale d’un dégagement plus ou moins rapide. Plus l’homme est attaché aux jouissances matérielles de la vie, plus le détachement de son Esprit sera difficile et douloureux pour l’âme. Inversement celui qui aura cheminé vers les plans spirituels aura une libération plus rapide et indolore.
Dans le passage de la vie corporelle à la vie spirituelle, il se produit un autre phénomène d’une importance capitale : c’est celui du trouble. C’est un état normal à l’instant de la mort. A ce moment l’âme éprouve une sorte d’engourdissement momentanée de ses facultés. Sa durée est indéterminée et varie de quelques heures à quelques années.
A mesure que ce trouble se dissipe, l’âme est dans la situation d’un homme qui sort d’un profond sommeil. Pour les uns ce réveil est calme et réconfortant, pour d’autres il est plein de terreur et produit l’effet d’un affreux cauchemar.
Vous voyez il n’est pas toujours simple de mourir, mais il est toujours temps de se préparer. Pour cela il faut travailler à son épuration, réprimer ses mauvaises tendances, vaincre ses passions. Il faut en voir les avantages dans l’avenir, s’identifier à la vie future et la préférer à la vie terrestre. Il faut non seulement y croire à cette vie spirituelle, mais la comprendre.
Faites les bons choix et
A bientôt sur TV spirite

Livres d’Allan Kardec

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